mardi 3 mars à 20h30
Afin de lutter contre la mise en place de caisses automatiques qui menace leurs emplois, les employés d’un Hard Discount créent clandestinement leur propre « Discount alternatif», en récupérant des produits qui auraient dû être gaspillés…
«C’est bien la France d’aujourd’hui que raconte le jeune réalisateur : celle du ras-le-bol du surendettement, de la précarité de l’emploi ou du logement. De la difficulté grandissante à mettre quelque chose de correct dans son assiette avec un maigre salaire, alors que les grandes surfaces détruisent quotidiennement des tonnes de nourriture. Ces personnages indociles, généreux, tenaces sont interprétés par des comédiens formidables....» Télérama
mardi 17 mars à 20h30
Jérémie, 34 ans, émerge dans un appartement inconnu aux côtés d’Adna, une ravissante suédoise aussi drôle qu’attachante. Le début d’un conte de fées ? Rien n’est moins sûr car Jérémie est sur le point de se marier… avec Antoine.
«Une comédie légère et enlevée, qui évite joliment les pièges du mauvais goût» Le Dauphiné Libéré
mardi 31 mars à 20h30
Avertissement : des scènes, des propos ou des images peuvent heurter la sensibilité des spectateurs.
Tireur d’élite des Navy Seal, Chris Kyle est envoyé en Irak dans un seul but : protéger ses camarades. Sa précision chirurgicale sauve d’innombrables vies humaines et, tandis que les récits de ses exploits se multiplient, il décroche le surnom de «La Légende». Cependant, sa réputation se propage au-delà des lignes ennemies, si bien que sa tête est mise à prix et qu’il devient une cible privilégiée des insurgés. Malgré le danger, et l’angoisse dans laquelle vit sa famille, Chris participe à quatre batailles décisives parmi les plus terribles de la guerre en Irak, s’imposant ainsi comme l’incarnation vivante de la devise des Seal : « Pas de quartier ! » Mais en rentrant au pays, Chris prend conscience qu’il ne parvient pas à retrouver une vie normale.
«De l’autobiographie d’une personnalité profondément ambiguë, Clint Eatswood tire une réflexion puissante sur la déshumanisation de la guerre.» les Cahiers du Cinéma